Le Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN) fête ses 50 ans.
Un colloque se tiendra à cette occasion le jeudi 14 novembre 2024 de 13h45 à 18h30 à l’Assemblée nationale (Paris – France) sur le thème : « La non-violence politique pour transformer la société ».
Cette année 2024 est une année particulière pour le MAN qui souffle ses cinquante bougies… Fêter cinq décennies d’action et de réflexion au service la non-violence politique n’est pas un événement anodin dans la société actuelle.
Le colloque aura pour objet non pas de retracer l’histoire du MAN mais de mettre en lumière ce que la non-violence a à dire aujourd’hui.
Entre interventions liminaires avec des experts de la non-violence pour apporter de la matière de fond, et tables rondes avec des personnalités issues de différents milieux pour apporter du débat, cette demi-journée s’annonce riche en enseignements.
La chaire ISNoV sera représentée lors de cet événement à travers une conférence sur l’intervention sociale non-violente et avec la participation – rendue possible grâce à l’équipe organisatrice du MAN – de 30 étudiant.e.s bordelais dans le cadre d’une semaine thématique sur les modes d’intervention sociale et socioculturelle non-violente mise en place à l’IUT Bordeaux Montaigne pour le cursus de 3ème année du Bachelor Universitaire de Technologie en Animation Sociale et Socioculturelle.
https://nonviolence.fr/Le-MAN-fete-ses-50-ans-un-colloque-jeudi-14-novembre-a-l-Assemblee-nationale
https://nonviolence.fr/Actualites-291
En partenariat avec la chaire : parution d’Alternatives Non-Violentes, juin 2023 :
Ensemble, habiter la ville
Ce numéro d’ANV a été réalisé avec le concours de la « Chaire UNESCO Intervention sociale non-violente ».
Les villes et les espaces urbains sont souvent connus par leurs aspects négatifs : étalement aberrant, mobilité défaillante, pollution et bruit, ségrégations et inégalités, mal-logement et insécurité, etc. Aujourd’hui, le projet urbain n’est pourtant plus le même qu’hier : la production de la ville ne peut plus faire l’impasse sur l’écologie, le bien-être et la solidarité.
Dans ce contexte en mutation, la ville est de plus en plus considérée comme un lieu de nouveaux possibles, d’inventions concrètes. Cette urbanité est-elle en mesure d’améliorer vraiment les relations humaines et de répondre aux impératifs écologiques ? En d’autres termes, le vivre ensemble non-violent est-il franchement en route ?